Habiletés personnelles et autonomie
Favoriser l’engagement de la personne dans ses activités et ses projets Définir son identité occupationnelle Définir un plan d’action pour réaliser leur projet, apprendre à structurer son temps Notion d’espoir et de projet, preuve que la maladie n’est pas tout, qu’il est possible de vivre une vie la plus agréable possible Réduire le stress, les symptômes, grâce à la participation à des activités Développer ses capacités à être autonome afin de satisfaire ses besoins, envies, désirs
Habiletés sociales et groupales
Développer ses capacités à être en groupe et à agir de façon coopérative Prendre le contrôle, exercer un choix et s’investir activement dans le monde Surmonter la stigmatisation sociale par des interactions positives dans les activités Trouver un soutien social, créer des liens sociaux, exercer sa citoyenneté
Les temps d’accompagnements sont donc centrés sur une proposition personnelle qui est prise en charge de façon groupale. Jusqu’à présent des demandes ont pu ainsi être faites par le médecin, l’assistante sociale ou le patient lui-même sur des sujets précis. Ces accompagnements ne sont pas le c½ur principal des séances et ce groupe n’est pas donc pas uniquement un lieu de préparation de sorties de l’hôpital. Il peut donc se passer plusieurs séances, sans qu’il n’y ait de sorties dont la fréquence n’est donc pas déterminée à l’avance. L’idée est de conserver la capacité des patients à se permettre de se penser comme citoyens à l’extérieur de l’hôpital et pas juste malades dans l’hôpital. Il est pertinent de proposer des taches entre chaque séance, de préférence déterminées par les personnes elles-mêmes, comme un objectif à atteindre d’ici à la prochaine séance. Des mises en situations concrètes, personnelles ou groupales, peuvent être déterminées entre les séances. Dans cette optique, un carnet personnel ou un planning pourraient être intéressants à développer. La notion de personnes ressources, issues du travail de type éducation thérapeutique et de l’emporwement qui se développent de plus en plus, nécessite parfois de proposer à des « invités » de se joindre au groupe. Il peut s’agir de personnes encore hospitalisées ou venant en hôpital de jour. Ces personnes viennent apporter une vision différente, des capacités de transmission d’informations, de soutien et de motivation aux patients, surtout pour ceux qui sont d’ores et déjà à l’extérieur de l’hôpital.Quelques exemples : (voir aussi petites histoires) Apprendre à se déplacer de manière autonome en ville (transports en communs, à pied) Aller acheter des objets spécifiques dans une boutique Aller découvrir des lieux culturels de la ville, en se renseignant auparavant Repérer comment se rendre à un rendez-vous Retourner sur le lieu de son enfance
Les temps d’accompagnements sont donc centrés sur une proposition personnelle qui est prise en charge de façon groupale. Jusqu’à présent des demandes ont pu ainsi être faites par le médecin, l’assistante sociale ou le patient lui-même sur des sujets précis. Ces accompagnements ne sont pas le c½ur principal des séances et ce groupe n’est pas donc pas uniquement un lieu de préparation de sorties de l’hôpital. Il peut donc se passer plusieurs séances, sans qu’il n’y ait de sorties dont la fréquence n’est donc pas déterminée à l’avance. L’idée est de conserver la capacité des patients à se permettre de se penser comme citoyens à l’extérieur de l’hôpital et pas juste malades dans l’hôpital. Il est pertinent de proposer des taches entre chaque séance, de préférence déterminées par les personnes elles-mêmes, comme un objectif à atteindre d’ici à la prochaine séance. Des mises en situations concrètes, personnelles ou groupales, peuvent être déterminées entre les séances. Dans cette optique, un carnet personnel ou un planning pourraient être intéressants à développer. La notion de personnes ressources, issues du travail de type éducation thérapeutique et de l’emporwement qui se développent de plus en plus, nécessite parfois de proposer à des « invités » de se joindre au groupe. Il peut s’agir de personnes encore hospitalisées ou venant en hôpital de jour. Ces personnes viennent apporter une vision différente, des capacités de transmission d’informations, de soutien et de motivation aux patients, surtout pour ceux qui sont d’ores et déjà à l’extérieur de l’hôpital.
Quelques exemples : (voir aussi petites histoires) Apprendre à se déplacer de manière autonome en ville (transports en communs, à pied) Aller acheter des objets spécifiques dans une boutique Aller découvrir des lieux culturels de la ville, en se renseignant auparavant Repérer comment se rendre à un rendez-vous Retourner sur le lieu de son enfance
Favoriser des interactions verbales entre les personnes, dans un climat de confiance et de sécurité, nécessitant une confidentialité (salle fermée et groupe connu) Retrouver des capacités de choix, d’engagement, de sentiment d’appartenir à une communauté, de sentiment de citoyenneté Donner de l’information sur certains sujets et permettre aux patients des échanges de savoir entre eux (type éducation thérapeutique) Mettre en lumière, de façon plus ludique qu’un bilan, des difficultés rencontrées par la personne et identifiées comme telles par elle-même, pour créer une conscience et une demande autour de cela Proposer un travail sur les représentations sociales et personnelles autour des thèmes proposés par chaque jeu (hygiène, maison comme symbole de son espace personnel, loisirs, etc…)