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Sens de la somatisation

Le but de l’atelier de détente, et de toute psychothérapie, est d’amener la personne à la conscience de lui-même et du sens qu'il ou elle donne à sa vie. Scénarios de vie, missions familiales, mythes personnels , croyances familiales et personnelles en des destins fixés par avance, sont autant de pistes possibles ou peuvent s’égarer les personnes ou bien se réaliser. Lors d’une hospitalisation, il est rare de pouvoir accompagner une personne dans la découverte du sens de sa vie et de son mythe personnel. Ce qui vient au premier plan, c’est le symptôme apparent.

Souvent les personnes qui demandent à bénéficier de cet atelier ressentent un état de malaise diffus, d'angoisse dont ils souhaitent être débarrassés ou encore ils présentent de somatisations, petites ou grandes, installées depuis plus ou moins long terme. Nous allons tenter de définir ce qu'est une somatisation, puis de regarder les choses sous l'angle des différentes pathologies et enfin parler du cortège de petits troubles fonctionnels de la dépression.



Somatisations
Il faut tout d'abord considérer que les patients souhaitent être débarrassés de leurs symptômes, de préférence rapidement et par quelqu'un d'extérieur ayant pouvoir de réaliser cet exploit. Le plus souvent cette attente est dirigée vers le médecin qui se trouve ainsi placé en situation de sauveur. Rares sont les patients névrotiques ou dépressifs à considérer que leurs symptômes ont du sens, s'inscrivent dans leur histoire, voir proviennent de leur façon d'être et de leur passé. Dans le domaine de la psychose c'est du côté, le plus souvent du déni que tout se passe et les symptômes psychotiques sont, quand à eux insensés dans tous les sens du terme, donc la question du sens symbolique ne risque pas d'y organiser quoique ce soit.

Nous voyons donc que, d'emblée entre patients et thérapeutes s'installe une dichotomie qu'il va nous falloir réduire, non pas par des explications intellectuelles mais par une thérapie proposant une cure de la fonction symbolique pour re-donner du sens à son histoire, à son symptôme, à sa vie.


Le symptôme représente un faisceau de significations possibles, un certain nombre de possibilités selon chacun. Cette notion est plus prégnante dans la névrose, car le symptôme psychotique est du domaine du non lien, du chaos, de l'insensé et il est plus difficile d'y trouver une dimension métaphorique. Les symptômes dépressifs peuvent également être porteurs d'un sens symbolique. Le symptôme est une métaphore d’autre chose. Il s’agit d’éléments psychiques qui n’ont pas pu être exprimés verbalement. En effet, de nombreux éléments psychiques sont contenus dans l’inconscient des personnes et sont très loin de pouvoir être reconnus et élaborés.

Le symptôme, comme le rêve, vient présenter sous une forme déguisée l’énergie psychique qui n’a pas pu trouver, en son temps
, un mode d’utilisation " normale ". De nombreux référents théoriques permettent d’affiner ce qui est déterminé comme normal, en fonction des critères sociaux et culturels. En ce qui concerne la personne elle-même, cette notion de normalité est le plus souvent, bien moins importante que le critère de souffrance psychique.
Est symptôme, avant tout, ce qui fait souffrir l’être et l’empêche de trouver plus de plaisir dans sa vie que de douleur. Est symptôme ce qui empêche le sujet de connaître son désir. Et pourtant, le symptôme est aussi l’expression de la vérité du sujet. Le symptôme est une métaphore à décrypter par le patient lui-même lorsqu'il s'interrogera sur sa fonction, sur la jouissance qu'il en tire et sur les éventuels bénéfices secondaires.

Les symptômes corporels peuvent être liés à des pathologies psychiatriques identifiables. Trois grandes pathologies sont ainsi identifiées, mettant en cause le substrat du corps les somatisations d’origine névrotique sur personnalité hystérique, les troubles psychosomatiques et l’hypocondrie. Mais il est également possible de remarquer que très souvent, lors de l'état dépressif, tout un cortège de petits troubles dits fonctionnels sont présents.


Symptômes fonctionnels du syndrome dépressif

Nous voyons donc qu’il existe une gradation de la gravité des symptômes corporels existant dans le cadre d’une pathologie psychiatrique. Mais il existe aussi tout un cortège de « petits » symptômes décrits pas les relaxants, à type de troubles fonctionnels. Dans un atelier de détente corporelle, les symptômes décrits les plus fréquemment sont centrés autour des tensions musculaires du dos (nuque , trapèzes, lombaires), le sentiment de fatigue et de manque d’énergie, les douleurs diffuses, le sentiment d’une tension musculaire généralisée, des points douloureux, un sentiment de raideur générale, de manque de souplesse corporelle, etc…Tout ce cortège de « petits » symptômes signant parfois un état d’anxiété ou d’angoisse, se retrouve néanmoins chez presque tous les participants, à des degrés différents, le plus souvent en lien avec les plaintes somatiques retrouvées dans les signes dépressifs.


Ainsi certaines zones "privilégiées" sont identifiées aussi comme " chargées d’angoisse " : Les fameuses boules dans la gorge, les n½uds au plexus solaire, les crispations, accélérations ou ralentissement intestinaux. Les zones de la gorge, du plexus solaire, du c½ur et de la poitrine, de la nuque, du dos, du bassin et du ventre, sont des zones généralement clefs pour les patients. Elles sont largement reconnues comme porteuses si ce n’est de sens, du moins de tensions. Ce sont ces zones, assez universelles dans les sensations de tension et de douleur, qui peuvent servir d’étayage possible à la conscience du lien corps-esprit. Ces zones privilégiées vont donc être soulignées, identifiées et proposées plus particulièrement à l’écoute consciente qui fait suite au temps de massage.

Ce sont plutôt sur ces zones de tension, ces petits symptômes fonctionnels, que l’atelier de détente corporel va se révéler le plus efficace. En effet, le travail plus approfondi sur le sens du symptôme corporel, nécessiterait un travail beaucoup plus long que la durée d’une hospitalisation brève, pour qu’à la place du symptôme surgisse la métaphore, signe de retrouvailles avec la fonction symbolique. 



Un patient souffrant d’attaques de panique a bénéficié des séances de détente corporelle. C’est le travail de changement de sensations, exploré avant et après le massage, qui lui ont permis de découvrir qu'une évolution est possible, qu'il est possible d'agir sur lui et pour lui. Il a pu signifier aussi que sa préférence allait au temps plus actif des auto-massages et surtout, les expérimentations centrées sur la respiration, qu’il vivait lui, comme des exercices de contrôle. Il est progressivement passé à une position active.

Au départ, il vivait ses attaques comme négatives, puis il est passé à une distinction plus affinée de ce qui se passe pour lui:

"Au début, mes attaques me submergeaient et je ne pouvais rien y faire. Il me fallait quelqu'un d'extérieur, avec une blouse blanche, pour me rassurer. Puis, j'ai pu essayer de les contrôler un peu, avec la respiration. Certaines peuvent passer ainsi, ou durer moins longtemps.

Mais finalement, je me rends compte que certaines attaques sont douloureuses, font très mal, alors que d'autres me soulagent. Elles me permettent de pleurer, ce qui n'est pas possible autrement. C'est comme un trop plein qui se déverse alors, ça sert finalement à quelque chose."


Ce patient a pu expérimenter, peut-être pas encore le sens, mais au moins la notion de l'économie psychique de ses attaques. Il lui reste encore du chemin à parcourir pour avoir conscience des bénéfices apportés, du sens métaphorique d'une attaque de panique en lien avec la dimension de la libido, et du sens dans sa propre histoire




Névrose hystérique
Freud indique comment l’excitation sexuelle, dans le cadre de l’hystérie, peut prendre la simple voie du dégoût ou se convertir en symptôme corporel. Le quota de libido refoulée et liée à la situation ½dipienne, s’inscrit alors, dans d’autres zones du corps que la zone génitale. Les zones concernées se signalent par ce que les chinois traduisent en termes de « trop d’énergie ». Souffrance et douleurs apparaissent, comme par exemple, des paralysies sans causalité , ni logique neurologique. Freud parle du « saut du psychismes dans l’innervation somatique ».

Les douleurs diverses, les sensations de brulure ou de fourmillements, les sensations de coupure, de striction et bien d'autres encore font partie des symptômes hystériques qui viennent en certains lieux privilégiés (cou, gorge, bassin, dos, ventre) pour dire la souffrance de la personne. Ces symptômes ont un sens potentiel à décrypter, une valeur expressive et une dimension symbolique.

Ils s’adressent généralement à l’autre, et c’est pourquoi ces symptômes ne sont pas exempts de manipulation, dont il faut bien se souvenir qu’elle est inconsciente. Ils présentent des dimensions relationnelles de séduction ou d’opposition ce qui leur vaut souvent de s'adresser au médecin comme maître, père, sauveur réunit en un seule et même grande figure
. Cela implique aussi souvent que cela s'adresse préférentiellement aux médecins généralistes masculins qui se retrouvent en grandes difficultés à soigner des symptômes ayant des allures somatiques et venant en fait essentiellement s'adresser à eux sur un mode de mise en échec, de déplacements de symptômes et de positionnement de petite fille obéissante ou rebelle.

La caractéristique la plus intéressante de ces symptômes est qu’ils ouvrent une porte, comme le rêve, vers l’inconscient des personnes. Ces symptômes peuvent donc bénéficier d’élaborations psychiques, de transformation grâce à la parole en psychothérapie. Il s’agit d’une fantasmatisation d’un conflit psychique, refoulé et inconscient.



Maladies psychosomatiques

Ces dernières s’inscrivent comme les pathologies les plus complexes, signant une incapacité des personnes à élaborer psychiquement ce qui se joue dans le corps, s’y installe et crée progressivement des dysfonctionnements et atteintes réellement somatiques. Ils sont peu envoyés en psychiatrie en première intention.


Ainsi, les patients souffrant de douleurs chroniques sont rarement adressés en psychiatrie pour ce motif. Nous retrouvons néanmoins des telles personnes hospitalisées, le plus souvent, pour des syndromes dépressifs faisant suite ou s’intriquant avec les troubles somatiques. Il convient alors de ne pas considérer ces troubles comme étant uniquement d’origine psychogène. Diverses théorise sont avancées:


  • Dans le cadre des douleurs chroniques, certains auteurs pensent que la zone concernée par la douleur aurait été fragilisée lors d’une situation traumatique de douleur aiguë, associée à une situation relationnelle conflictuelle ou à une façon de gérer la maladie transmise par la famille. Lors de difficultés ultérieures, l’énergie psychique qui ne trouve pas à se lier, à s’élaborer, à se dire, retrouve plus aisément la voie corporelle dans ce lieu fragilisé. Un peu à la façon d’un disque rayé, l’énergie pulsionnelle, devenant charge d’angoisse, s’inscrit dans le sillon et le creuse encore un peu plus.
  • Si l’on se réfère à la théorie Freudienne, il est possible de dire que l’excès de tension libidinale ne va pas s’inscrire dans la dimension sexuelle d’une satisfaction et ne peut pas s’inscrire non plus dans la dimension fantasmatique d’un conflit psychique. Cet excès d’énergie, de tension, provoquerait alors, une décharge somatique. Pourquoi alors, chez certains sujets, cette excitation interne peut -elle trouver des voies de décharge sexuelle ou d’élaboration symbolique, et chez d’autres la décharge s’inscrit dans le corps.
  • Des auteurs tels que Franz Alexander, ont mis en évidence que les atteintes psychosomatiques atteignent des organes qui sont le plus souvent sous la dépendance du système nerveux végétatif. Les auteurs Reichiens et néo-reichiens travaillent dans ce sens, parlant de cuirasses musculaires de tensions ou de tensions émotionnelles, susceptibles d’avoir une action, par la voie cortico-hypothalamique, et de créer de véritables lésions d’organes. (Ulcères de stress, troubles gastriques, intestinaux etc…).

Il semble que ces personnes ont un mode de pensée opératoire, c’est à dire une façon de penser qui est peu affective et avec de grandes difficultés à représenter les sentiments, affects et émotions du sujet. Elles n’ont pas les mots pour le dire…Et cette faille semble être issue d’un défaut de symbolisation de la mère qui n’a pas pu aider l’enfant à ne pas rester dans une agitation motrice, pure décharge d’un excès d’excitation. C’est la fonction de pare-excitation de la mère qui a fait défaut, laissant l’enfant aux prises avec la dimension dissociante de l’énergie pure, sans y donner de réponse adéquate ou sans mettre des mots sur le ressenti potentiel de l’enfant. La maladie psychosomatique est donc une décharge dans le corps d’une énergie, d’une tension émotionnelle, incapable de se lier, se vivre, s’intégrer, se représenter, se symboliser.




Hypochondrie
Les troubles psycho-somatiques s'installent sur des structures de personnalités diverses et peuvent conduire à des atteintes réelles du corps. Tout autre chose se passe lorsque la personne présente une structure psychotique ou mélancolique. Dans ce cas, les troubles peuvent aller de la simple inquiétude anxieuse au vrai délire hypocondriaque ou mélancolique. Le mécanisme, selon les théories Freudiennes, serait une stase de la libido dans les organes du corps. Il y a donc une fixation de la libido sur le corps propre. Cette fixation est alors comparée à une « érection » douloureuse et angoissante. Les zones érogènes ne se limitent donc plus aux zones génitales.


Il existe une gradation progressive : Toute personne peut ressentir des vécus cénesthésiques particuliers lors d’un moment difficile, lors d’une maladie organique source de douleur. Pour d’autres, une angoisse névrotique peut s’inscrire dans des préoccupations corporelles excessives, avec la peur d’être malade, avec l’écoute de la moindre petite répercussion corporelle, vécue comme un signal d’alarme. La personne vit sur le qui vive, à l’écoute de tout signe corporel. Le corps, ne devient plus source de plaisir, mais douloureusement sensible, ressenti comme mauvais et quasi persécutif.

Certains peuvent alors entrer dans une ronde infernale de demandes d’investigations médicales, de soins médicamenteux et nombreux autres examens. La pulsion de mort est parfois si forte, que des actes médicaux ou chirurgicaux abusifs, peuvent être pratiqués. Selon la résistance des médecins somaticiens à effectuer ces examens ou interventions, ces patients entendront parler plus ou moins rapidement de la dimension psychogène de leurs troubles. Cette annonce est le plus souvent vécue comme un déni de leur souffrance. « Et pourtant, ce n’est pas juste dans ma tête….


L’hypocondrie peut s’inscrire aussi dans des délires hypocondriaques, schizophréniques (transformation d’organes) ou mélancoliques (délire de négation d’organes de Cottard). Ce stade majeur s’installe dans la conviction d’être atteint d’une maladie organique, certitude que n’atténuera aucun examen, aucune réassurance, aucune explication.

Toutefois, il faut noter que la plainte hypocondriaque, délirante ou non, reste une tentative d’élaboration psychique, même sur un mode persécutif, même sur un mode délirant. Ainsi, une douleur chronique chez une personne schizophrène peut-elle être une dernière défense contre un morcellement corporel. La douleur devient le dernier bastion qui fait tenir ensemble du corps, qui offre une existence au moi corporel. Néanmoins la thérapie ne permettra pas à ces personnes d'accéder à la dimension symbolique et signifiante de leurs symptômes. Le traitement reste essentiellement médicamenteux pour baisser le seuil de l'angoisse.


En ce qui concerne l’hypocondrie, une contre-indication peut se dégager, la plupart du temps, car la personne ne peut se distancier suffisamment de ses troubles et de son besoin incessant de contrôler, d’écouter, de vérifier.





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