A. Il me semble que vous êtes très négative avec votre employeur. SI vous êtes ralentie par votre dépression, cela peut lui poser problème. Mettez-vous un peu à sa place. B. Peut-être que si vous vous faisiez un planning pour les repas, il vous serait plus facile ensuite de les réaliser. C. Est-ce que cela pose problème à votre mari de faire les repas ? D. Comment sont vos rapports avec votre mari ? Peut-être que vous avez des choses à lui reprocher et que c’est pour cela que vous ne faites plus à manger…E. Vous me dites- que vous n’avez plus envie de faire à manger à vos enfants et que vous avez le sentiment que la relation avec votre employeur a contribué à votre état actuel. Est-ce bien cela ? F. Votre employeur ne semble pas très sympathique avec vous. Mais ça pourrait peut-être s’arranger si vous essayez de lui en parler. Qu’en pensez-vous ?
A. Votre médecin a sans doute raison de vous demander de noter votre consommation. Nous pouvons faire ensemble un tableau que vous n’aurez plus qu’à remplir et comme cela vous saurez mieux où vous en êtes. B. Vous me dites qu’il semble y avoir une incompréhension entre vous et votre médecin, en fait, c’est presque comme s’il décidait à votre place. Est-ce bien cela ? C. Vu ce que vous me dites, je suis assez d’accord avec votre médecin, cela semble quand même faire beaucoup de verres dans une journée, non ? D. Rassurez-vous, il y a des personnes qui n’ont que peu de répercussions physiques. Peut-être est-ce votre cas ? Attendez les résultats des examens. E. Ce sont des verres de quelle sorte ? Alcool fort ? Vin ? Ou autre chose ? F. Vous, vous pensez que vous ne buvez pas trop mais il semble que votre médecin, lui, s’inquiète pour votre santé.
A. Peut-être devriez-vous demander à votre psychiatre de parler avec vos parents ? B. Vous avez le sentiment qu’il est exagéré de vous proposer une hospitalisation en psychiatrie par rapport à ce que vous vivez dans les relations avec vos professeurs et une camarade de classe. Est-ce bien cela ? C. Ne vous inquiétez pas, une hospitalisation ce n’est pas à vie, vous finirez par sortir d’ici. D. Qu’est-ce qu’elle vous a dit pour vous mettre ainsi en colère cette jeune fille ?E. Il me semble que vous avez une mauvaise vision de vos parents. F. C’est votre attitude qui pousse vos professeurs à agir ainsi, pour vous stimuler.
A. Vous buvez combien de litre par jour ? B. Je pense que votre médecin cherche juste à vous aider.C. Peut-être vous pourriez vous limiter à une certaine dose par jour en utilisant une cruche ou une bouteille pour limiter les chosesD. Vous me dites que vous avez le sentiment d’être pris pour un enfant et que l’on vous empêche de faire ce que vous souhaitez, ce qui vous agace. E. C’est surement parce que vous êtes enfermé que vous êtes aussi en colère que cela. F. Peut-être que si vous vous comportiez de façon adulte, sans vous mettre en colère tout le temps, les autres pourraient mieux vous écouter.
A. Peut-être pourriez-vous me dire pourquoi vous voulez faire un cadeau à votre mère ?B. Vous pouvez lui acheter quelque chose d’autre qu’un objet que vous avez fait en thérapieC. J’ai le sentiment que vous êtes contrariée par tout cela. C’est bien normal.D. Vous nous en voulez de ne pas pourvoir faire un cadeau à votre mère et vous me dites que vous risquez d’être triste si nous vous en empêchons. E. Vous tentez de me culpabiliser, là, non ? F. Vous voulez faire un cadeau à votre mère pour vous faire pardonner de ne pas manger ce qu’elle vous prépare.
A. Peut-être que vous êtes un peu dur avec votre femme, non ? B. Il me semble que si vous en parliez avec votre meilleur ami, il pourrait venir vous chercher pour vous stimuler. C. C’est surement le fait d’être en retraite qui a tout fait basculer, parce que vous vous sentez inutile. D. Vous dites que votre femme trouve que vous râler tout le temps et que de votre côté, le fait d’être en retraite a provoqué un sentiment de perte. E. C’est normal qu’avec un tel sentiment de perte vous soyez en colère, mais cela va s’arranger avec le temps. F. Vous aimiez quoi faire comme activité ?
A. Vous me dites que vous vous sentez inquiète de ne pas vous souvenir de ce qui s’est passé. Est-ce exact ? B. Vous savez, il est tout à fait possible que l’abus des médicaments et de l’alcool ait brouillé votre esprit. La mémoire va vous revenir. C. Voulez-vous que nous fassions des exercices de mémoire ? D. Vous ne vous souvenez de rien, peut-être parce que cela vous gêne de penser que vous avez voulu vous suicider. E. Vous avez quand même fait très peur à votre mari, je pense, il avait des raisons d’être inquiet. F. C’était la première fois que vous faisiez un tel geste ?
A. Cela arrive souvent de confondre certains endroits ou de ne pas se souvenir. Ne vous inquiétez pas. B. Peut-être que vous avez mis vos chaussettes dans le frigidaire pour ennuyer votre femme ? C. Vous semblez inquiet de ces événements qui vous paraissent bizarres. Est-ce bien votre ressenti ?D. Peut-être pourriez-vous utiliser des post-it pour mieux vous souvenir des choses.E. Vous étiez parti chercher quoi alors, ce jour-là ?F. Cela doit être difficile pour votre femme, vous ne pensez-pas ?
A. Je ne sais pas si ca va vous guérir, mais si vous n’essayez pas, il ne risque pas de se passer quelque chose de toute façon.B. Cela peut arriver à tout le monde de ne pas avoir envie d’agir. Je vous invite à essayer une fois de venir et de regarder. C. Vous n’aimez pas être obligée de faire quelque chose ? D. Je vous suggère de ne pas rester dans votre lit durant la journée, sauf peut-être pour une petite sieste. E. Vous me dites que vous n’avez rien envie de faire et que vous ne comprenez pas pourquoi on vous incite à entrer en action. F. He bien, il y a des gens qui ont du bien vous embêter pour que vous réagissiez ainsi…
A. Je pense que découper du papier va vous permettre de ne pas vous découper vous. Ce serait déjà une première étape, non ?B. Vous devriez peut-être supprimer tout objet coupant de votre appartement. C. Vous vous faites du mal parce que vous ne vous trouvez pas très valable, est-ce cela ? D. Peut-être si vous aviez une occupation un peu plus active, vous pourriez moins penser vous laisser aller à ne penser qu’à votre angoisse. E. Vous avez fait de vraies tentatives de suicide aussi ? F. Vous avez le sentiment que seules les scarifications peuvent vous soulager de votre angoisse. Est-ce bien ce que vous ressentez ?